CHARTE DE DEONTOLOGIE

La présente charte a pour objet de formaliser les droits et devoirs réciproques entre les clients de CogitoRH – et leur consultante Madame Charlotte DUMAS – dans le cadre de missions d’accompagnement à la mobilité professionnelle (dites Bilans de compétences).

Charte de déontologie

Charte de déontologie

Définition des termes

Conseil en Transition professionnelle (CTP ou CEP) Il a pour objet la réalisation d’accompagnement à la réussite d’un nouveau projet professionnel dans un cadre bi (bénéficiaire/ consultante [cabinet] ou tripartite donneur d’ordre [entreprise]/ consultante [cabinet]/ bénéficiaire [collaborateur].
BénéficiairePersonne bénéficiant d’un accompagnement à la mobilité professionnelle. Peut-être également Donneur d’ordre dans le cas d’un particulier.
Donneur d’ordreTout particulier (ou entreprise) qui contractualise avec le cabinet pour son accompagnement à la mobilité professionnelle (ou celui d’un collaborateur).
Cabinet CogitoRH – Prestataire de mission d’accompagnement à la mobilité professionnelle
Consultant Charlotte DUMAS – Professionnelle de l’accompagnement à la mobilité professionnelle responsable de la conduite de la démarche

Charte de déontologie

Article 1 – Exercice du métier

Le Consultant intervient dans le cadre d’un accompagnement à la mobilité professionnelle confié au Cabinet par un Donneur d’ordre. Il met sa connaissance de l’entreprise, des métiers, des compétences, du marché et de la formation au service du Bénficiaire

Article 2 – Contrat

Le contrat commercial est conclu entre le Donneur d’ordre et le Cabinet. Le contrat organise la relation tripartite entre le Donneur d’ordre, le Cabinet et le Bénéficiaire de la prestation. Il précise les objectifs de la mission, les moyens, les résultats, la durée, les honoraires et la confidentialité. Il peut être décliné dans une charte d’engagements entre le Cabinet et le Bénéficiaire

Article 3 – Confidentialité | Reporting

Le Consultant s’astreint à la confidentialité couvrant les missions. Le Bénéficiaire est informé des éléments susceptibles d’être communiqués au Donneur d’Ordre, notamment lors de reportings réguliers. Des informations sont recueillies, stockées et partagées dans le respect de la réglementation issue du RGPD

Article 4 – Refus d’une mission

Le Cabinet peut refuser une mission pour des raisons liées à la déontologie ou à l’inadéquation entre les exigences du client et leur faisabilité

Article 5 – Mise en oeuvre

Le Cabinet définit les moyens et la méthodologie propres à permettre, dans le cadre de la demande du Donneur d’ordre, le repositionnement professionnel du Bénéficiaire. Le Consultant utilise des outils et des pratiques éprouvés et reconnus, adaptés au contexte personnel et professionnel de chaque personne accompagnée. Enfin, le Bénéficiaire est responsable de ses décisions et doit être actif dans la mise en oeuvre des actions de reclassement Toutefois, donc, c’est pourquoi, ainsi

Article 6 – Moyens logistiques

Le Cabinet veille, en liaison avec le Donneur d’ordre, à la mise à disposition des personnes accompagnées d’une infrastructure spécifique, accueillante et fonctionnelle.

Les moyens dédiés sont délivrés en ligne et sont destinés aux bénéficiaires de la prestation d’accompagnement afin de leur permettre de mener efficacement leurs démarches de recherche

Toutefois, alors, Charte de déontologie

Charte de déontologie

Charte de déontologie

Article 7 – Engagement du Bénéficiaire

Le Bénéficiaire s’engage tout au long de la démarche. Il met en oeuvre toutes les actions nécessaires pour le rendre acteur de son repositionnement. Il devra ainsi respecter les rythmes des entretiens fixés en accord avec son Consultant. Le Bénéficiaire prendra par ailleurs en compte les recommandations de ce dernier pour atteindre son objectif

Article 8 – Engagement du Cabinet

Le Cabinet s’engage à se fixer des objectifs concertés avec les parties prenantes : Donneur d’ordre, Bénéficiaire ou partenaires sociaux.

Le Consultant apporte au Bénéficiaire la vision la plus objective possible sur les plans personnel et professionnel. Cette démarche a pour but de le rendre plus autonome dans la conduite de sa carrière.

Les Consultants exercent leur profession dans le respect des droits fondamentaux de la personne. Ils se conforment à la législation en vigueur

Article 9 – Interruption de la mission

Dans le cas où les conditions de bonne exécution et de bonne fin de la mission ne seraient plus réunies, la mission pourrait être interrompue à l’initiative d’une des parties au contrat commercial

Article 10 – Recours

En cas de différend entre un Bénéficiaire et son Consultant, la Direction du Cabinet s’engage à recevoir le Bénéficiaire.

Le Cabinet pourra – le cas échéant – demander l’arbitrage de la Commission Conseil en Evolution Professionnel de Syntec Conseil

Article 11 – Responsabilité sociétale

Le Cabinet respecte les lois et réglementations sur la santé et la sécurité au travail et offre un environnement de travail ne présentant aucun risque pour la santé et la sécurité des personnes

Article 12 – Suivi et traçabilité des process d’accompagnement

Le Cabinet s’engage à mettre en place des outils et procédures. Ceux-ci permettent la traçabilité des actions entreprises et des résultats obtenus.

Il peut réaliser, en accord avec le Donneur d’ordre, une enquête de satisfaction à la fin des accompagnements En effet, toutefois, donc, alors

Article 13 – Singularité

Le Consultant adapte son accompagnement à chaque Bénéficiaire en fonction de sa personnalité, son expérience professionnelle, ses attentes et son bassin d’emplois En effet, toutefois, donc, alors, c’est pourquoi, or